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Un verbe à particule séparable en allemand, c’est un verbe dont le préfixe se détache et file en fin de phrase quand vous le conjuguez.
Vous dites “Ich stehe auf”, pas “Ich aufstehe”.
Cette séparation change toute la structure de vos phrases et piège pas mal d’apprenants au début.
Vous les reconnaissez grâce à leurs 15 particules spécifiques (auf-, ein-, mit-…) qui portent toujours l’accent tonique.
Maîtriser ces verbes, c’est débloquer une énorme partie du vocabulaire allemand courant.
On vous explique comment les repérer, les conjuguer au présent et au passé, et on vous donne les dix verbes indispensables pour vos conversations de tous les jours.
Points clés à retenir
- 15 particules toujours séparables : auf-, ein-, aus-, mit-, an-, ab-, los-, nach-, her-, hin-, vor-, weg-, zu-, zurück-, bei-
- Au présent : le verbe conjugué reste en position 2, la particule file en fin de phrase (Ich stehe um 7 Uhr auf)
- Au passé composé : le ge- s’intercale entre particule et radical (aufgestanden, eingekauft, angerufen)
- Reconnaissance par l’accent : particule accentuée = séparable (AUFstehen vs verKAUfen)
- Cas particuliers : avec les verbes de modalité et dans les subordonnées, la particule reste collée au verbe
Qu’est-ce qu’un verbe à particule séparable en allemand ?
Le principe du Lego linguistique (particule + verbe = nouveau sens)
Vous savez ce qui rend l’allemand fascinant ? Cette capacité à assembler des morceaux de langue comme des briques de Lego. Prenez un verbe que vous connaissez déjà, collez-lui une petite particule devant, et hop : vous obtenez un nouveau verbe avec un sens complètement différent.
Regardez stehen. Ça veut dire “être debout”. Banal, non ? Maintenant, ajoutez la particule auf devant : aufstehen. Et là, magie ! Ça devient “se lever”. La particule auf apporte cette idée de mouvement vers le haut, de passage d’une position à une autre.
Même logique avec machen (faire). Tout seul, il reste vague. Mais aufmachen ? C’est ouvrir. Zumachen ? Fermer. Mitmachen ? Participer. Vous voyez le truc ? Une seule base verbale, et vous créez toute une famille de verbes.
Ces petites particules fonctionnent un peu comme des préfixes en français, sauf qu’elles ont une vie bien à elles. Elles ne restent pas sagement collées au verbe. Elles bougent, elles se détachent, elles voyagent dans la phrase. C’est justement cette mobilité qui les rend “séparables”.
Pourquoi “séparable” change tout (comparaison aufstehen → ich stehe auf) ?
Parlons franchement : si les verbes à particule séparable posent problème à tant d’apprenants, c’est à cause de cette séparation. À l’infinitif, tout va bien. Vous écrivez aufstehen, tout est collé, rien de compliqué. Le dictionnaire est content, vous aussi.
Mais dès que vous conjuguez ce verbe dans une phrase ? Paf, ça se corse. La particule auf se détache et file en bout de phrase. Vous ne dites pas “Ich aufstehe um 7 Uhr”. Non. Vous dites : “Ich stehe um 7 Uhr auf”. Le verbe conjugué stehe reste en deuxième position (comme tout verbe allemand), et la particule auf va squatter la dernière place.
Imaginez que vous racontez votre matinée à un collègue allemand : “Heute stehe ich sehr früh auf, dann mache ich die Fenster auf und ich gehe aus”. Je me lève très tôt, j’ouvre les fenêtres et je sors. Trois verbes séparables, trois particules qui traînent en fin de phrase. C’est leur signature.
Cette séparation n’est pas un caprice grammatical. Elle structure toute la phrase allemande. Le verbe conjugué ancre la phrase en position 2, et la particule ferme la marche. Entre les deux ? Vous casez vos compléments, vos adverbes, tout ce que vous voulez. Mais ces deux éléments, eux, ne bougent pas de leur poste.
Maintenant que vous voyez pourquoi cette séparation compte autant, passons à la vraie question pratique : comment conjuguer ces verbes sans se planter ?
Comment conjuguer un verbe à particule séparable ?
Au présent : la particule file en fin de phrase
Commençons simple. Vous voulez dire “J’appelle ma mère”. Le verbe, c’est anrufen (appeler au téléphone).
Première étape : conjuguez le verbe de base rufen comme d’habitude. À la première personne, ça donne rufe.
Deuxième étape : envoyez la particule an en fin de phrase.
Résultat ? “Ich rufe meine Mutter an”.
Regardons ça évoluer avec des phrases plus riches. Vous ajoutez un complément de temps ? “Ich rufe meine Mutter heute Abend an” (J’appelle ma mère ce soir). Un complément de lieu ? “Ich rufe meine Mutter aus Berlin an” (J’appelle ma mère depuis Berlin). La particule an reste scotchée à la fin. Toujours.
Prenons un autre exemple concret. Vous faites les courses : einkaufen. La base, c’est kaufen (acheter). Au présent, ça donne : “Ich kaufe im Supermarkt ein” (Je fais les courses au supermarché). Vous voyez ? Le verbe conjugué kaufe en position 2, puis vos compléments, puis la particule ein qui clôture.
Un dernier pour la route. Vous rangez votre chambre : aufräumen. “Ich räume mein Zimmer auf”. Même schéma : verbe conjugué räume, complément mein Zimmer, particule auf en queue de peloton.
La règle est carrée. Le verbe conjugué occupe sa place habituelle (position 2 dans une phrase affirmative). La particule séparable file direct en fin de proposition. Entre les deux, vous organisez le reste comme vous voulez. Cette mécanique ne change pas, que votre phrase fasse trois mots ou quinze.
Au passé composé : le “ge-” s’intercale
Vous pensiez avoir compris le principe ? Attendez de voir ce qui se passe au passé composé. Là, ça devient carrément chirurgical.
Pour former un participe passé classique en allemand, vous prenez le radical du verbe et vous ajoutez ge- devant et -t ou -en derrière. Par exemple : machen devient gemacht, kaufen devient gekauft. Jusque-là, vous suivez.
Mais avec un verbe séparable ? Le ge- ne se place pas devant le verbe complet. Il s’insère entre la particule et le radical. Oui, vous avez bien lu : il se faufile entre les deux morceaux.
Reprenons aufstehen. Au passé composé, ça donne : aufgestanden. La particule auf reste devant, puis vient le ge-, puis le radical standen. Dans une phrase : “Ich bin heute sehr früh aufgestanden” (Je me suis levé très tôt aujourd’hui).
Autre exemple avec einkaufen. Le participe passé ? eingekauft. “Ich habe gestern im Supermarkt eingekauft” (J’ai fait les courses hier au supermarché). Même logique : ein + ge + kauft.
Et anrufen ? Ça devient angerufen. “Ich habe meine Mutter gestern Abend angerufen” (J’ai appelé ma mère hier soir).
La formule magique, si vous voulez la retenir : particule + ge + radical du verbe. Pas de ge- tout seul devant le verbe complet, hein. Il faut vraiment le glisser au milieu, comme un sandwich. Cette règle ne souffre aucune exception pour les verbes à particule séparable. Si vous maîtrisez déjà les verbes forts allemands, vous savez que certains participes passés se terminent en -en plutôt qu’en -t. Même principe ici : aufstehen fait aufgestanden parce que stehen est un verbe fort.
Les cas particuliers qui piègent
Vous commencez à saisir le système ? Parfait. Mais l’allemand ne serait pas l’allemand sans quelques situations tordues où les règles semblent changer.
Premier cas : les verbes de modalité. Vous connaissez ces petits verbes qui se baladent partout : können (pouvoir), müssen (devoir), wollen (vouloir), möchten (aimerait). Quand vous les utilisez avec un verbe séparable, ce dernier ne se sépare plus. Il reste collé, à l’infinitif, en fin de phrase.
Exemple concret : vous devez éteindre la lumière. Le verbe, c’est ausmachen. Au présent simple, vous diriez : “Ich mache das Licht aus”. Mais avec müssen ? “Ich muss das Licht ausmachen”. Vous voyez ? La particule aus et le verbe machen restent soudés, et le tout se retrouve en queue de phrase, à l’infinitif.
Autre exemple : vous voulez sortir ce soir. “Ich will heute Abend ausgehen” (Je veux sortir ce soir). Le verbe ausgehen ne se sépare pas, il reste entier après will.
Pourquoi ce changement ? Parce qu’en allemand, quand un verbe conjugué est déjà présent (ici, muss ou will), le verbe principal passe à l’infinitif et file en fin de phrase. Et à l’infinitif, rappelez-vous, la particule reste collée au verbe. Logique implacable.
Deuxième cas piégeux : les subordonnées. Vous savez, ces phrases introduites par weil (parce que), dass (que), wenn (quand), obwohl (bien que)… Dans une subordonnée allemande, le verbe conjugué se retrouve en fin de phrase. Et devinez quoi ? Quand le verbe est séparable, la particule se recolle à lui.
Regardez : “Ich stehe früh auf” (Je me lève tôt) devient, dans une subordonnée : “Ich bin müde, weil ich früh aufstehe” (Je suis fatigué parce que je me lève tôt). La particule auf et le verbe stehe se rejoignent à la fin, après weil.
Autre exemple : “Ich rufe dich an” (Je t’appelle) se transforme en “Ich verspreche, dass ich dich anrufe” (Je promets que je t’appelle). Dans la subordonnée introduite par dass, an et rufe se retrouvent collés en fin de phrase.
Ces deux cas particuliers déstabilisent beaucoup d’apprenants. Si vous avez du mal avec ces subtilités et que vous voulez vraiment les ancrer, nos cours particuliers d’allemand pour adultes vous permettent de travailler ces points précis avec un prof qui adapte tout à votre rythme.
Bon, maintenant que vous savez conjuguer ces verbes dans tous les cas de figure, reste une question essentielle : comment repérer un verbe séparable quand vous en croisez un ?
Comment savoir si votre verbe est séparable ?
La liste des particules toujours séparables
On va vous donner une arme redoutable : la liste des particules séparables les plus fréquentes. Quand vous voyez un verbe qui commence par l’une d’elles, vous pouvez parier à 99% qu’il est séparable. Voici les stars du système :
- ab- (idée de descente, de départ) : abfahren (partir en voiture)
- an- (idée de début, de contact) : anfangen (commencer), anrufen (appeler)
- auf- (idée de montée, d’ouverture) : aufstehen (se lever), aufmachen (ouvrir)
- aus- (idée de sortie, d’extinction) : ausgehen (sortir), ausmachen (éteindre)
- bei- (idée de présence, d’accompagnement) : beistehen (assister)
- ein- (idée d’entrée) : einkaufen (faire les courses), einschlafen (s’endormir)
- los- (idée de démarrage) : losgehen (partir, commencer)
- mit- (idée d’accompagnement) : mitkommen (venir avec), mitmachen (participer)
- nach- (idée de suite, de vérification) : nachdenken (réfléchir)
- her- (mouvement vers soi) : herkommen (venir ici)
- hin- (mouvement loin de soi) : hingehen (y aller)
- vor- (idée d’avance, de préférence) : vorbereiten (préparer)
- weg- (idée d’éloignement) : weggehen (partir)
- zu- (idée de fermeture, d’ajout) : zumachen (fermer)
- zurück- (idée de retour) : zurückkommen (revenir)
Ces quinze particules couvrent l’immense majorité des verbes séparables que vous croiserez. Apprenez-les par cœur. Vraiment.
Dès que vous lisez un verbe allemand, jetez un œil au début : il commence par l’une de ces particules ? Bingo, vous savez qu’il va se séparer à la conjugaison.
Petite astuce qu’on donne souvent : beaucoup de ces particules sont aussi des prépositions que vous connaissez déjà (auf, aus, an, mit…).
Elles gardent souvent leur sens de base quand elles s’accrochent à un verbe. Auf évoque toujours quelque chose qui monte ou s’ouvre. Aus parle de sortie ou d’extinction. Ein signale une entrée.
Ces liens sémantiques aident à mémoriser le sens des verbes et leur comportement.
L’astuce de l’accentuation pour vérifier
Vous tombez sur un verbe allemand inconnu et vous vous demandez s’il est séparable ? Il existe un truc infaillible, surtout à l’oral : l’accentuation.
Les particules séparables portent toujours l’accent tonique du mot. Toujours. Quand vous prononcez aufstehen, vous insistez sur AUFstehen, pas sur aufSTEhen. Pareil pour EINkaufen, ANrufen, MITkommen. La particule claque, elle domine, elle vous saute aux oreilles.
Comparez maintenant avec un verbe qui n’est pas séparable, comme verkaufen (vendre). Là, vous accentuez le radical : verKAUfen. Le préfixe ver- reste discret, presque avalé. Même chose pour beginnen (commencer) : beGINnen. Le be- ne porte jamais l’accent.
Cette différence d’accentuation n’est pas anodine. Elle vous donne un indice immédiat. Vous écoutez un Allemand dire un verbe ? Si l’accent tombe sur ce qui ressemble à une particule au début du mot, vous savez qu’elle va se détacher en conjugaison. Si l’accent est sur le radical, la particule reste collée.
Un petit exercice mental qu’on propose souvent : prenez umfahren. Ça peut se prononcer de deux façons. UMfahren (avec l’accent sur um) signifie “renverser” et c’est séparable : “Ich fahre den Baum um” (je renverse l’arbre). Mais umFAHren (avec l’accent sur fahr) veut dire “contourner” et c’est inséparable : “Ich umfahre den Baum” (je contourne l’arbre). Même verbe écrit pareil, deux sens, deux conjugaisons, juste à cause de l’accent. Flippant, non ?
Si vous avez du mal à entendre ces nuances d’accentuation ou si vous voulez travailler votre prononciation avec un retour instantané, jetez un œil à nos cours d’allemand intensifs : on travaille justement ces finesses à l’oral.
Maintenant que vous savez repérer un verbe séparable à coup sûr, passons aux verbes concrets que vous utiliserez tous les jours.
10 verbes séparables à connaître absolument
Parlons pratique. Voici dix verbes à particule séparable que vous croiserez dans presque toutes les conversations courantes. On vous donne le verbe, son sens, et une phrase d’exemple pour que vous voyiez comment ça fonctionne en situation réelle.
Verbe | Traduction | Exemple en contexte |
aufstehen | se lever | Ich stehe jeden Morgen um 6 Uhr auf.
(Je me lève chaque matin à 6 heures.) |
einkaufen | faire les courses | Wir kaufen samstags im Supermarkt ein.
(Nous faisons les courses le samedi au supermarché.) |
mitkommen | venir avec, accompagner | Kommst du mit ins Kino?
(Tu viens avec nous au cinéma ?) |
aufmachen | ouvrir | Kannst du bitte das Fenster aufmachen?
(Tu peux ouvrir la fenêtre s’il te plaît ?) |
zumachen | fermer | Mach die Tür zu, es ist kalt!
(Ferme la porte, il fait froid !) |
anrufen | appeler (au téléphone) | Ich rufe dich morgen an.
(Je t’appelle demain.) |
ausgehen | sortir (le soir) | Heute Abend gehen wir aus.
(Ce soir, on sort.) |
einschlafen | s’endormir | Ich schlafe immer vor dem Fernseher ein.
(Je m’endors toujours devant la télé.) |
aufräumen | ranger | Am Wochenende räume ich mein Zimmer auf.
(Le week-end, je range ma chambre.) |
zurückkommen | revenir | Wann kommst du zurück?
(Quand est-ce que tu reviens ?) |
Ces dix verbes couvrent des actions que vous faites tous les jours. Vous vous levez (aufstehen), vous faites vos courses (einkaufen), vous passez des coups de fil (anrufen), vous sortez le soir (ausgehen), vous rangez votre bazar (aufräumen). Bref, c’est du concret.
Vous remarquez la logique derrière ces verbes ? Les particules donnent le ton. Auf apporte souvent une idée d’ouverture ou de montée (aufstehen, aufmachen). Ein évoque l’entrée ou l’intégration (einkaufen, einschlafen). Aus parle de sortie (ausgehen). Zu ferme les choses (zumachen). Zurück ramène en arrière (zurückkommen).
Si vous apprenez ces dix verbes et que vous comprenez bien comment leurs particules fonctionnent, vous débloquez un paquet d’autres verbes par simple analogie. Vous savez ce que fait auf ? Vous devinez facilement aufhören (arrêter, cesser), aufpassen (faire attention), aufwachen (se réveiller). Le système devient prévisible.
D’ailleurs, si vous voulez aller plus loin dans la maîtrise des verbes allemands, on vous conseille de jeter un œil à notre article sur la différence entre verbes forts et faibles. Ça vous aidera à comprendre pourquoi certains participes passés se forment avec -en et d’autres avec -t.
Maintenant que vous avez ces dix verbes en poche, il est temps de vérifier que vous avez vraiment capté le système. Place à la pratique.
Exercices interactifs : Verbes à particule séparable
Cliquez sur les verbes que vous pensez être séparables. Rappelez-vous : les particules séparables portent l'accent tonique !
Glissez-déposez les éléments pour former des phrases correctes. Le verbe conjugué doit être en position 2, la particule en fin !
Complétez les phrases avec le participe passé correct. Rappelez-vous : particule + ge + radical !
Questions à choix multiples couvrant tous les aspects des verbes séparables. Choisissez la meilleure réponse !
Chez Avoscours, on croit fermement que l’apprentissage des langues passe par la pratique répétée et l’autocorrection. Ces exercices vous donnent ce feedback direct, sans attendre.
Ce qu’il faut retenir sur les verbes séparables
Vous avez parcouru tout le système des verbes à particule séparable. Vous savez maintenant les repérer, les conjuguer, et vous connaissez les dix verbes essentiels pour démarrer.
On vous récapitule tout ça dans un tableau qui répond aux trois questions que vous vous posiez au départ.
Question | Réponse synthétique | Exemple concret |
C’est quoi un verbe à particule séparable ? | Un verbe formé d’une particule (préfixe) et d’un radical qui se séparent à la conjugaison. La particule va en fin de phrase. | aufstehen → Ich stehe um 7 Uhr auf |
Comment les reconnaître ? | Deux méthodes : vérifier si le verbe commence par l’une des 15 particules séparables, ou écouter l’accentuation (particule accentuée = séparable). | **AUF**stehen (séparable) vs ver**KAU**fen (inséparable) |
Comment les conjuguer ? | Présent : verbe en position 2, particule en fin.
Passé composé : particule + ge + radical. Avec modalité/subordonnée : particule reste collée. |
Ich stehe auf
Ich bin aufgestanden Ich muss aufstehen |
Ces verbes représentent une grosse part du vocabulaire allemand quotidien.
Vous les croisez partout : pour dire que vous vous levez, que vous faites vos courses, que vous appelez quelqu’un, que vous sortez le soir.
Les maîtriser, c’est gagner en fluidité et en naturel quand vous parlez.